Si la contamination directe - par postillons et gouttelettes directement projetés sur le visage via la toux, l’éternuement et la parole - reste la voie principale de contagion :

  • il y a un risque infectieux dans les fines particules ( bioaérosols ) expirées en parlant ou simplement en respirant qui restent en suspension en intérieur pendant des heures en l'absence de ventilation, et qui de ce fait peuvent être inspirées par d’autres personnes

Concrètement, cela veut dire que le port du masque est nécessaire dans les espaces clos, même si la distanciation physique d'un mètre, ou plus, est respectée.

Un exemple fameux est celui d'un cluster démarré dans un restaurant de Canton en janvier dernier :

  • une personne sans symptôme a contaminé des clients de deux tables voisines, sans contact, le climatiseur ayant fait voler le virus d'une table à une autre.
  • Pour en savoir plus :